À toi, mon chum Claude 2.0
Un petit poème
Je fais souvent ce rêve étrange et enlevant.
D’un rouquin plein d'entrain, d'Ottawa à Philadelphie qu'on aime,
Et qui est, chaque fois, tout à fait parfait.
Ni tout à fait sur la première vague d'avantage et désavantage numérique.
Tous les partisans me comprennent, et mon cœur transparent.
Pour toi seul, hélas! cesse d’être le meilleur centre de l'histoire.
Pour toi seul, les lumières du CCT s'écrient comme une sirène,
Toi seul sais les rafraîchir, en pleurant les partisans s'élèvent.
Dans mon cœur, jamais je l’ignore.
Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore,
Comme ceux des aimés au plafond du CCT.
Son regard est pareil au regard des dieux,
Et pour sa barbe, imposante, calme et grave,
L’inflexion de son bâton, tel un luron, à toi Claude nous te saluons.